1ère nuit chez sois

Zael avais suivit valoris jusqu'à la fameuse taverne qui lui servirais d'habitation. Sur la route, ils avaient croiser beaucoup de monde, les rebelles étaient nombreux bien que beaucoup soit de simple villageois non aptes au combats. Zael transportait un sac assez lourd sur le dos, pleins d'armes et quelque armes et objet divers qui lui servait pour ses voyages ainsi que ses accessoires de danseuse. Beaucoup se retournait sur son passage, la dévisageant, certains hommes lui lançaient des regard assez pervers mais elle n'y fit pas attention. je suivait valoris sans dire le moindre mots, le ciel commençait à s'obscurcir, s'était mauvais signe, il risque d'y avoir sa sacré orage cette nuit... je frissonnait légèrement, repoussant d'un geste machinale ma longue chevelure brune en arrière. Une fois devant la vielle taverne je fixait valoris et demanda:

- personne d'autres n'habite là ?

j'étais plutôt étonner, s'était tout de même spacieux, je pensait vivre avec d'autre personnes dans cette taverne, mais il semblerais bien que non...

Et nous y voilà, la vieille taverne qui sera désormais le lieu de résidence de Zael. Valoris se tenait devant sans rien dire de plus. Il ne faisait que de la regarder. A vrai dire, il était une fois de plus, perdu dans ses songes... Mais il fut à nouveau tirer de ses derniers par la question de la jeune femme lui demandant alors si personne d'autre ne vivait ici. Valoris sourit alors et lui répondit

- A vrai dire, si on considère les ivrogne qui s'endorment au bar, tu ne seras pas la seul à habiter ici. A vrai dire, il n'y a la place que pour une seule personne. Faire vivre une famille au second étage d'une taverne qui est aussi animé et en si mauvais état, c'est vraiment pas chouette. Bon, les meilleurs place sont prise... J'ai put t'obtenir, malheureusement, le meilleur du pire. Il se frotte alors l'arrière de la tête en souriant un peu tristement et reprit : Bon, je te fais visiter, bien qu'il n'y ai pas grand chose à voir ?

Et là, on put entendre une voix plutôt familière désormais.

- Ouai, Valoris !! Faudra un jour que tu m'apprenne à emballer une femme comme sa ! T'es le pro des pro toi ! Un pur sang !

Valoris soupira alors et fit comme si de rien n'était. Il regarda alors Zael et l'invita alors à entrer la première. Fils de forgeron ok, mais aussi galant qu'un noble voyons !

je laissais valoris m'expliquer pour la taverne... puis l'autre perevrs fit son retours, je me crispais et lui répondit froidement:

- oui...au moins valoris lui sait se comporter correctement envers les femmes...

Le pervers me regarda vexé et répondit:

- beuh...et alors ! moi aussi je peut si je veux...

- c'est cela...

finalement , trop vexé, l'homme fit demis-tour et valoris me laissa entrer dans al taverne, je lui sourit et entra. Je regardais ma nouvelle demeure et sourit:

- c'est très bien ! sa feras parfaitement l'affaire !!!

Je me déplacer et repoussa un vielle poutre au sol qui gênait le passage et dit en rigolant:

- un brin de ménage, quelque réparation et cette taverne seras parfaite...

je me retournais vers valoris et lui dit avec un sourire attendrissant:

- n'ais-je pas raison valoris ?

Et la voix du pervers se fit encore entendre:

- ouais !!! elle est folle de toi val !!! fait lui son affaire ! elle attend que sa la cochonne !!!

je sais pas vraiment si je devais prendre sa pour un compliment, toutefois, mon sourire se figea sur mon visage et mon regard brûla d'une terrible envie de meurtre...vaut mieux que je laisse valoris régler ça où sa finiras mal!

je fut étonner d'entendre valoris hurler comme sa. A tel point que je fit un bon soudain et recula, me prenant les pieds dans une poutre et tomba à la renverse poussant un petit gémissement . L'homme quand à lui partir la queue entre les jambes (aucun mauvais heu de mots XD). Je plaquais ma main sur ma poitrine, mon coeur battant la chamade, j'avais vraiment eu peur, prise par surprise, je ne m'attendait pas à le voir s'emporter ainsi.

- je...

je soupirais te prit une profonde inspiration. j'avais l'air idiote mais tant pis, je n'arrivais même pas à me relever:

- tu m'as mit une de ses frousse valoris !!! sa ne vas pas d'hurler comme sa! se type n'en valait pas la peine tu sais...

je me redressai avec difficulté, titubant à moitié, le temps de retrouver mes esprit. je me retournais et regarda à nouveau la taverne alors que des gens commencer à venir voir pourquoi leur chef s'était énerver. Il y avait un groupe de jeune femme très belles parmi ses gens qui fixèrent valoris en souriant et rougissant, lui faisant de petits signe de mains. je tournais la tete et regarder les filles puis valoris, un sourire sournois s'étira sur mes lèvre et je murmura:

- on dirais que tu as des fan val...

Les filles se mirent à glousser en regardant valoris, s'était plutôt drôle à voir comme scène. je grand et beau valoris avait tout un groupe de filles qui lui couraient après...hilarant...

Valoris se fit engueuler à la suite par Zael qui n'avait pas encore encaissé le choc dut à la gueulante de Valoris. Il se frotta alors l'arrière de la tête tout en rangeant son épée dans le dos et répondit simplement :

- Pardon...

Il secoua alors la tête pour remettre ses cheveux, un peu en place. Et c'est alors qu'intervienne les fana de Valoris. Il faut que depuis que la cité s'est agrandi et qu'il y a de plus en plus de monde, Valoris est devenue mal grès lui, une sorte d'idole pour les jeunes hommes et l'homme parfait sur ses jeunes demoiselles. D'ailleurs elle était toutes là, soit elle souriait, soit elle lui faisait des petits signes. histoire de se faire remarquer par Valoris.
Naturellement, Valoris ne les laissa pas sans rien en retour. Il leur sourit alors et leur fit une révérence magistrale en leur disant

- Je suis votre humble serviteur. Si vous avez besoin de quoi que se soit, n'hésitez pas à me le demander.

Alors naturellement, on put entendre les habituelles : " épouse-moi !" etc... Mais bon, là, Valoris ne pouvait rien faire. Il se contenta de leur faire des petits signes de la mains doublé de clins d'oeils et de sourire ravageur. Elles allaient sûrement faire comme d'habitude, des demandes en mariage, des rencards etc...
Valoris leur avait promis de passé du temps avec chacune... Chose qu'il n'aurait pas du faire...

- Comme je vous l'ai promis, je passerais passé un peu de temps avec chacune d'entre vous lorsque le royaume sera libéré ! Ne vous inquiétez pas, je tiendrais paroles !

Et hop, mêlé à ses belles paroles, un nouveau clin d'oeil et sourire ravageur et on obtient ? Des zombie sans cervelles... Mon dieu, mon dieu...
Il se tourna alors vers Zael toujours en souriant mais le perdit aussi-tôt à la vue du regard que lui lançait Zael...

*Elle ne serait quand même pas jalouse si ?!*

Non mais regardez moi ça !!!! elles se prenne qui qui ses idiotes sans cervelles ? je regarde la scène assez perturber. le pire, reste quand même valoris qui fait des révérence, des signes et des clin d'oeil...et se sourire là...tsss... je détourne le regard un instant, ravalant la colère. colère ??? euh...eh bien...oui, jalouse..un peu... et voilà qu'il leur fait la promesse de passer du temps avec chacune d'entre lle...eh bien, en voilà là un qui sait s'y prendre avec les femmes...il doit en prendre du bon plaisir mon seigneur valoris...IL se tourne vers moi pour me regarder, moi je lui lance u regard noir.

* quoi ? pourquoi tu me regarde comme ça ? t'as pas assez avec tes groupies ?*

bien sûr, je ne me permettais pas de le dire à haute voix, je tiens encore à la vie ! je m'efforce de sourire et dit avec un ton faussement joyeux:

- valoris... tu devrais peu être partir maintenant ! tu dois avoir du travail...

je le poussais doucement mais rapidement vers la sortie, là où son pire cauchemars l'attendait : 10 filles prête à lui sauter dessus dans la seconde! quand à moi, je me retournais et commença à ramasser les morceau de ruines au sol; et installa de quoi dormir dans un coin de la taverne et m'assis sur mon lit. Enfin lit, s'est vite dit, une couverture de peau de bête au sol et voilà. Sa feras l'affaire, habituellement je dors dans la rue, sa pouvait pas être pire...

Valoris se fit lentement pousser par Zael vers l'extérieur de la taverne vers ses espèces de furies en chaleur. Mais elle veut sa mort ou quoi ?! Valoris resta comme figé devant la porte. Entendant les cris des filles derrière lui. Il se tourna lentement et de façon angoissé avant de les regarder en souriant. Il leva alors les yeux vers le ciel et leur dit alors

- Oula, eh ! Le couvre-feu approche les filles ! Il serait grand temps de rentrer non ?

Et là, comme si cette scéne avait été répété des centaines de fois, elle lui dirent, et toutes ensemble s'il vous plait, qu'elle ne craignait rien vu qu'il était là pour les protéger.
Il soupira alors et regarda le sol et leur demanda gentiment, même de façon adorable :

- Vous pouvez me laisser seul un peu ? J'ai besoin de réfléchir.

Alors là, c'est limite si elle ne fondirent pas toutes en même temps. Elle s'en allèrent toutes en lui faisant des petits signes de la main. Ouf, il a réussi à s'en débarrasser pour l'instant ! Il se frotta à nouveau l'arrière de la tête en soupirant et se mit à marcher lentement, les mains dans les poches et têtes baissé vers son église. On pouvait simplement entendre les bruits de pas s'éloigner de la taverne.

*Il faudrait que je dorme un peu moi... Sa serait pas du luxe, je pense... Trop d'émotions aujourd'hui...*

Il continuait sa marche lente sentant toujours les regards de ses jeunes demoiselles le fixant comme un chien fixant un steak dans une vitrine mais ne pouvant pas l'atteindre pour le moment.
Cependant, le manque de sommeil finit par rattraper Valoris lorsqu'il fit à peine une dizaine de mètres... Il tomba alors au sol, évanouie. Alors bien sur, les filles rappliquèrent comme des hyènes affamés sans vraiment savoir se qu'elle doivent faire !

je mit un violent coup de pied dans une pierre sur le sol, toujours aussi énerver de ce que je venais de voir. comment pouvait-il être si adorable et odieux à la fois ??? cet homme finiras par me rendre chèvre... Dos plaquer contre mur, je me laisse glisser au sol, l'air songeur et un peu boudeur. fermant les yeux, je laisse échapper un long soupir en passant ma main sur ma nuque. Non, je pouvait pas le laisser comme ça après l'avoir virer comme un chien. je me relevais et sortit de l'église rapidement, près à le rattraper sur le chemin mais là, je vit toute les filles regrouper en gémissant d'inquiétude. je me rapprochait à grand pas, les poussant pour voir ce qui se passais et dit sèchement :

- poussez-vous !! poussez vous bon sang !!!

je leur lançait un regard noir, les fils reculèrent de peur alors que je vit valoris inconscient sur le sol. je m'abaissais rapidement et dit paniquer:

- valoris !!! réveille toi !!

rien à faire ! il était épuiser! depuis combien de temps n'avait-il pas dormit ? ou bien manger ? prit le temps de se reposer u peu ? je fit un effort surhumain pour le soulever et le mettre sur mon épaule. Un homme bien battit l'aurait fait sans peine, moi, je n'était qu'une femme, pas très grande qui plus est , pourtant, je réussit à le soulever et le porter jusqu'à la taverne. je le déposais sur la couverture e peau de bête, j'étais essouffler et à bout de force. valoris dormait, je m'assit à coté de lui et le regard un bon moment sas bouger. c'est drôle, mais quand il dors, son visage est paisible, comme celui d'un enfant, sa me donne presque envie de le serrer contre moi. Soudain, le bruit de l'orage se fait entendre, je ferme les yeux et soupir. Dehors, la pluie coule à torrent, il fait nuit et froid, je prit la décision de laisser valoris se reposer ici. Suite à cela, je ne me souviens plus trop ce que j'ai fait, j'étais tout aussi épuiser, de part mon voyage, le faite que je n'est rien manger depuis 2 jours aussi. J'étais assise dans un coin, non loin du toit briser, j'étais tremper, tremblante comme une feuille à moitié endormis. L'orage ne cessait de me réveiller en sursaut, puis je me rendormait tout de suite derrière, recroqueviller dans un coin de la taverne, frigorifer...

toujours assoupis dans mon coin, tremper par la pluie, je tremblait de froid comme jamais. J'avais la chair de poule et ma peau ruisselait d'eau comme je venait de plonger la tête la première dans une rivière. c'est alors que j'entendis valoris crier et se réveiller. je sursautais et regarda autours de moi. je me relevais et marcha jusqu'à valoris, je le fixais un instant et fut surprise de le voir pleurer. je m'accroupis en face de lui et caressa sa joue et murmura:

- valoris...

je ne savais pas vraiment quoi lui dire, amis je sait comme parfait les rêves peuvent être dur à supporte, quand nos souvenirs remontent... je me laissais tomber à genoux devant lui et me rapprocha. Je voulais le consoler, lui montrer qu'il n'était pas seule. Bien que j'étais tremper, dégoulinant d'eau, je le prit contre moi en grelottant. Passant mes bras autours de son torse, ma tête reposant sur son épaule, je lui offrait une douce étreinte, je n'avais que cela à lui offrir. Mais le savoir là, à pleurer dans mes bras me rendait terriblement triste. je le regardais un instant, saisit son visage entre mes mains et lui dit avec un sourire tendre, les larmes yeux:

- valoris..tu...tu...as besoin...de ...re-repos...

je caressais sa joue, mes larmes coulèrent contre mon gré, se mélangeant au filet d'eau de pluie qui coulaient le long de mon visage. je tremblait toujours autant et murmura:

- je...ne sait pas...de...de quoi tu as rêver mais...ce n'était qu'un cauchemars...il faut que tu te...rendorme...d'accord?

Je déposais un baiser sur son front et le fixa avec un petit sourire triste.

je regardais valoris qui posa sa veste sur mes épaules, bien que se geste était doux et attentionnée, ses mots eux étaient froid. je me sentis mal et détourna le regard. je le suivit du regard alors qu'il se leva et se mit sous l'eau qui s'écoulait du toit. Il était si différent.. Je posais sa veste sur la couverture et le rejoins sous la pluie, le regardant avec tristesse. je posais mes doigts sous son menton et releva son visage et lui murmura:

- valoris... ne te laisse pas abattre par tes propre souvenirs...sa ne t'aideras à gagnr cette guerre...

je caressais sa joue, le fixant avec douceur :

- j'ai aussi été trahis...je peux comprendre ce que tu ressent....

courant à la suite de valoris sous la pluie battante. J'étais armée jusqu'au dent, pour ne pas changer. Alors que tu le monde pensais valoris fou à enfermer les troupe du roi, moi je compris qu'en ne les laissant pas s'échapper, nous les turions plus facilement...bon plan val...très bon plan. je me lançais dans le combat, tranchant les tête sur mon passage. c'était un vrai bain, je m'en donnait à coeur joie, je jetais un regard à valoris, il ne semblait pas se privé aussi... mais voilà, le maque de sommeil, la faim, le froid fit que je n'était pas en forme, mal gré les nombreux morts que j'avais fait, je flanchais. IL me fallu 1 seconde d'inattention et une lames entra en contacte avec ma peau. j'étouffais un cri et baissa les yeux. Une épée m'avait transpercer de part et d'autre de mon ventre. je cracher un léger filet de sang, le soldat retira son épée et je tombais à genoux au sol. je tendis une main vers valoris qui combattais à quelque mètre de moi, des larmes bouillantes coulant sur mes joues, j'essayais de l'appeler, mais aucun son ne put franchir mais lèvres. je sentais un vive douleur au niveau de mon ventre, un flot de sang s'écoulât de la plaie et se mélangea à la boue et la pluie sur le sol. je finit par m'écrouler inconsciente en plein milieu du champs de bataille. Autours de moi tout était noir, je ne ressentait plus la fatigue, ni la faim, ni même la douleur...étais-je morte en combattant ?

je sentit quelqu'un me toucher puis entendis le bruit de lames qui s'entrechoquaient et des bruit de douleur, puis plus rien. Je ne sais combien de temps de suis rester inconsciente mais j'ouvris enfin les yeux, je n'était pas morte finalement...j'étais allonger dans une sorte de lit, je me redressais en grimaçant de douleur. Quelqu'un m'avait soigner, j'avais un large bandage qui cachait mon ventre et la poitrine. je regardais autours de moi, un homme s'approcha et me dit:

- veuillez rester allonger zael !

Je le regardais et demanda:

- où est valoris ?

l'homme posa sa main sur mon épaule et dit:

- allongez vous..

- où est valoris ???

- ne vous occupez pas de ça ! vous n'êtes pas encore remise et...

- silence! je veux savoir si valoris va bien !!!!

- il est dans la pièce d'à côté...

je me levais , l'homme me retins par le bras:

- n'y aller pas, vous devez vous reposer!

je repoussais son bras d'un geste brusque et me hâta de rejoindre l'autre pièce. je m'approchais lentement du lit où valoris était allonger et inconscient. je m'assis sur le bord du lit et fixa son visage. je tendis la main et repoussa une mèche de cheveux qui barrais son visage et caressa sa joue du bout des doigts. j'étais soulager de voir qu'il allait bien, mais c'est la peur au ventre que j'avais accourut dans cette pièce, de peur de découvrir mort... l'état de stresse dans lequel je me trouvais fit que je ne put même pas retenir mes larmes. valoris avait un bandage identique au mien sur le torse et un autre au bras. je me penchais au dessus de lui et déposa un baiser sur sa joue et murmura:

- ne me laisse pas tomber...réveille toi vite valoris...je t'en supplie...

Enfait Valoris n'était pas tellement inconscient. Il c'était réveillé déjà bien avant. Juste que lui, suivait les conseil du médecin. Il se repose. Les murmure de la jeune femme le réveillâmes. Il ouvrit les yeux et regarda Zael en souriant.

- Le médecin ne t'as pas dit de te reposer ?

Valoris prit son autre main et sécha une larme qui coulait sur la joue de Zael. Valoris ne pouvait pas vraiment bouger de son lit. Un beau bandage sur tout son dos, un autre sur le ventre l'empêchant alors tout mouvement pour l'instant. Et son bras cassé, cela n'arrangea pas les choses...
Valoris reporta alors son regard vers une petite fenêtre donnant sur l'extérieur du bâtiment dans lequel il se trouvait. Il semblait quelque peu triste...
Souvenez-vous ! Son épée était le seul souvenir qui lui restait de son défunt père. Et maintenant, elle est tout bonnement cassé. Il n'avait pas su faire attention à la dernière lame que son père avait forgé. Bien qu'elle l'ai accompagnée depuis qu'il est entré dans l'armée royal. Il ne pensait pas, un jour, devoir s'en séparé. Pas de cette façon en tout cas.
Le médecin s'approcha alors de Zael et Valoris et dit alors à la jeune femme:

- Il faut vous reposer maintenant. Venez.

Valoris lui demander alors au médecin.

- Combien de pertes avant nous ?

-... on a compter une vingtaine de morts parmi les troupes rebelles...

- ...

- Mademoiselle Zael, s'il vous plait.

Le médecin indiqua à nouveau le lit où se trouver Zael, il y a de cela quelques minutes.

Je vit valoris ouvrir les yeux et me sourire. Je sentis mon coeur se serrer de soulagement alors qu'il me dit de me reposer et essuya mes larmes. Je sentis une nouvelle vague de larmes déferler sur mon visage et fit un petit signe de tête puis murmura:

- oui...je vais me reposer...je voulais juste voir si tu allais bien...

je prit sa main et la serra doucement puis me médecins arriva, il me prit doucement par le bras et m'aida à me lever, je tenais toujours la main de valoris alors que le médecin me fit marcher et contre mon gré, je dû lâcher la main de mon ami. Me revoilà à nouveau allonger dans se lit, je regarde notre grand pervers discuter avec un autre gars et lui fit signe de me rejoindre. je lui murmurais:

- dis moi... que c'est-il passer pendant la bataille ?

L'homme esquissa un sourire et dit:

- ah oui...tu ne peux pas savoir, tu été inconsciente...

j'insistais du regard, l'homme me regarda et dit en chuchotant avec enthousiasme:

- on à tous vu quand l'homme ta planter...valoris à régit aussitôt !!! il ta prit dans ses bras pour t'aider..mais il à du te lâcher derrière pour combattre et te protéger !!! comme un vrai héros !!

Je me mit à rire en même temps que l'homme et il ajouta:

- il à réussis à le tuer..mais il s'en est pas bien sortit, un bras casser, une entaille dans le dos et comme toi, une belle épée au travers du corps...à se demander comment vous avez fait pour rester en vie tout les deux...

Je perdis mon sourire et dit tristement:

- alors...si il dans cet état, c'est parce qu'il juste voulu me protéger...

- euh..ouais...mais te fait de mouron comme sa ma belle ! il va vite s'en remettre !!!! ce qui le gène le plus...c'est son épée! elle à été briser pendant le combat...Il la tenait de son père...

- et l'épée...tu sais où elle est ?

- oui bien sûr !!! elle est dans le débarra... pourquoi ?

- tu pourrais me l'apporter se soir ?

- bah oui...mais qu'est-ce que tu veux en faire ?

- ça s'est mon problème ! contente toi de me l'apporter sans que valoris soit au courant...

- très bien....

Les heures passèrent, je m'étais rendormis quand le pervers fit son apparition dans le noir et me réveilla en me secouant discrètement. J'ouvris les yeux et me redressa, il me tendit l'épée brisée dans un tissu, je la prit et me leva, il me regard étonner et me dit en murmurant:

- hey! où vas-tu comme ça !!! il fait nuit et tu es blesser!

- y a à t-il une forge ici ?

- pas que je sache...ah ! si... mais elle est à moitié en ruine !

- dis moi où je peut la trouver!

- elle est juste à côté de la taverne dans la qu'elle tu vit !

- merci... je te revaudrais ça mon ami.

je sortit par la fenêtre, grimaçant de douleur et marcha jusqu'à la taverne, là j'y trouvais facilement la forge. Elle n'était pas en si mauvais état que ça, j'en fut étonner. Le frère de mon père qui n'avait pas pût entrer dans l'armée, j'avais fait le choix d'être forgeron, j'avais passer toute mon enfance à le regarder faire des armes, j'avais appris aussi, mais quand il est mort, sa forge à fermer...je savais que je serais capable de réparer l'épée de valoris. après avoir tout remit en place, il me fallu toute la nuit pour réparer cette fameuse épée. J'ai bien cru ne jamais y arriver, ! j'étais blesser et la chaleur qui régnait dans la forge était insoutenable, sans compte l'effort physique intense qu'il m'avait fallu pour frapper le métal de l'arme pendant plusieurs heure...mais le réscultat valait le coup ! elle était comme neuve! je soupirais et sortis de la forge en titubant, maintenant, reste plus qu'à espérer que j'arrive dans mon lit avant le lever du soleil en encore en vie. Une fois de retours dans ce qui servait d'hôpital, je m'approchait du lit de valoris et posa discrètement l'épée à côté de son bras sans le réveiller puis je retournais dans mon lit, épuiser. un large rond de sang était apparut sur le bandage de mon ventre, ma plaie s'était rouverte, j'avais mal amis la fatigue prit le dessus et je m'endormit ainsi dans mon lit, de toute façon, le médecin me réveilleras dans la matinée en voyant la plaie rouverte, j'aurais qu'à dire que j'ai trop bouger pendant mon sommeil, sa devrait passer comme excuse...