Eglise, mort, cérémonie etc...

Valoris arriva enfin à l'église lui servant de résidence. Bien sur c'est un lieu de culte. Lorsqu'il entra, il ne manqua pas de prier avant de continuer son chemin. Une fois sa prière faites, il se rendit dans la petite remise où se trouvait simplement son lit. Il regarda se dernier avec un regard d'évasion. Du temps où il était soldat, il n'avait pas plus dans sa chambre. Mais le confort était quand même là. Avec les temps qui courent, le confort est un luxe que les rebelles ne peuvent pas se permettre.
Il alla alors accrocher sa lourde épée contre le mur et se recula lentement tout en la fixant. C'était la dernière arme qu'avait forgé son père avant de quitter se monde. Tant de mélancolie et de tristesse en se disant que cette lame ne servirait plus jamais désormais.
Valoris quitta alors la remise pour aller s'installer sur un banc vide de l'église. Il resta silencieux en regardant la statue représentant le seigneur.
Le plus dur n'était pas encore passé, il fallait encore dire adieux aux braves rebelles ayant quitter se monde. Et là, cela risque d'être long et difficile à passé. Bien qu'il était tous volontaire et que c'était de leur plein gré qu'il avait combattu, la famille de ses victimes ne seront pas toutes dans le même état d'esprit. Certains en voudraient sûrement à Valoris. La plupart des discours démarreraient sûrement tous de la même façon: "Pourquoi as-tu sauvé cette femme errante et non mon fils, frère, père..." etc... Bien qu'il soit très fort, il n'était pas un surhomme non plus. Il ne les aurais pas embarquer dans cette guerre si il pouvait la régler tout seul. Enfin, pourquoi Zael et pas un autre ? Voir un ami se faire frapper est une chose, voir une amie se faire frapper en est une autre. On ne réagit pas de la même façon dans les deux cas... Mais allez faire comprendre cela à une famille en deuil... Enfin, la veillé mortuaire était prévu pour demain soir.
Valoris aillait devoir marcher avec le cortège mortuaire. Dans la cité, on rendait à la terre, se qui lui appartient. Tout les mort sont donc brulé puis leur cendre sont enterré dans une tombe spécifique à chaque homme. Bien sur par dans une urne ou un cercueil. Elle sont simplement jeter dans le trou et on remet la terre dessus. Il n'aimait pas que cela se passe ainsi mais malheureusement, ce n'était pas la première fois et certainement pas la dernière...
Il fallait aussi que Valoris se trouve une nouvelle arme... Mais il y penserait après la veillé mortuaire.

Les médecins avaient réussis à refermait la plaie, j'avais eu le droit à la cautérisation. Se fut douloureux, il avait fallu 3 homme pour me tenir, un bout dans lequel mordre pour éviter d'hurler sous la douleur. Oh moins, j'allais mieux, beaucoup mieux, en dehors de la douleurs dû à la brûlure, je pouvais marcher et n'était plus obliger de rester allonger. mais j'était tout de même retomber dans le sommeil, épuiser après avoir passer al nuit à réparer l'épée de valoris. je me réveiller quelques heureus plus tard, je me levais et m'habillais, toujours aussi peu vêtut bien que mon bandage cache une bonne partie de mon torse. Je sortis dehors et prit une profonde inspiration, savourant l'air frais qui sintroduissait dans mes poumons. je vit quelques habitants me fixer étrangement, vertais tristement, d'autre avec de la haine...ciel ! qu'avais-je donc fait pour attirer tant de haine à mon égard? un groupe de fan de valoris me regardais et murmurais:

- c'est elle la fille que valoris à sauver ?

- oui...

elles me lançèrent un regard noir, je secouais la tête et me mit à marcher. J'arrivais devant l'église, espérant y trouver valoris. J'entrais et le vit sur un banc, je m'approchais et m'assit à côté de lui et murmura:

- bonjour...

Il n'y avait aucun son dans l'église. Un silence digne des morts. Il entendit alors le reste de porte légèrement grincer. Valoris ne se retourna pas. Après tout, n'importe qui pouvait entrer dans cette église librement et quand bon lui semblait.
Valoris garda la tête baissé perdu dans ses songes et ses prières lorsqu'il entendit la voix de Zael lui dire "bonjour". Il leva alors la tête et la regarda mais ne lui répondit qu'avec un simple signe de tête avant de rebaisser la tête.
Les églises, Valoris adorait les églises et les temples. Ce sont des lieu de culte, aucune violence n'y est toléré. Et le bruit est plus que rare. C'est un endroit prédisposé au repos.
Valoris se leva alors et sortit du banc. Il ne regarda pas une seule fois Zael. Mais il parla tout de même :

- Si tu viens pour me remercier de t'avoir sauver en risquant ma vie, ce n'est pas la peine d'user de ta salive. Et j'aurais préféré éviter que tu sois blessée.

Il s'avança vers les bougies et en alluma 20. Pourquoi 20 ? Simplement pour les 20 braves, qui se sont sacrifié pour protéger les êtres qui leurs son chères, cette cité et surtout l'avenir de toutes ses personnes encore vivante aujourd'hui. Il resta devant son bouger, baissant à nouveau la tête.

Je baissais les yeux, l'ambiance était tendu, je me sentais plutôt mal à l'aise. Entre les gens qui me haïssait et valoris qui m'ignorais, je sentais les nerfs à deux doigts de lâcher. j'avalais ma salive avec difficulté, un faible rictus se forma au coin de mes lèvres te je murmurais:

- très bien, je n'userais donc pas de ma salive. et j'aurais préféré aussi que tu ne sois pas blesser...

L'amertume se ressentais dans le ton de ma phrase. je relevais légèrement le visage et suivit valoris du regard qui allumaient des bougies en l'honneur des hommes mort au combat. je me levait et le rejoins silencieusement. je fit le signe de croix et chuchota quelque mots inaudible pour les morts puis dit sans regarder valoris

- je repars à altris...dès se soir.

Elle était donc bien venue ici pour remercier Valoris de l'avoir sauvée. Elle lui annonça également qu'elle partirait pour Altris dés se soir. Valoris releva alors la tête et rouvrit les yeux mais ne regarda toujours pas Zael. Il lui répondit simplement:

- Si c'est ton choix, tu es libre de repartir. Mais je crains que se ne soit impossible ce soir. Suite à se qui viens de se passer, on ne pas courir le risque de laisser entrer ou sortir quelqu'un de la cité avant après-demain. Ce soir, c'est encore assez tendu et tout le monde est à cran. On n'ouvre plus les portes aujourd'hui. Demain, tout la garde sera à la messe et dans le cortège mortuaire. Donc les portes resteront fermé. Il faudra que tu attendes le sur-lendemain matin pour quitter la cité...

Valoris se tourna alors s'avança vers le centre de l'église et resta devant l'autel principal. Demain allait être une longue et pénible journée pour Valoris. Il était à cran lui aussi, non seulement à cause de cela mais en plus du fait qu'une garnison royal ai put trouver la cité rebelles en plein cœur de la cité interdite.

- Ne va pas croire que je t'ignore et que je m'en foute de toi. Je suis un peu à cran et stressé aujourd'hui... Je t'aurais bien dit de rester ici, mais tu es libre de faire se que tu veux. Je ne suis qu'un homme libre tout comme toi tu es une femme libre, je n'ai nul droit sur toi ou quiconque...

ET voilà que j'étais bloquer dans la cité. je fermais les yeux, retins ma respiration pour ne pas m'emporter dans ma colère.

- il est hors de questions que je reste ici une nuit de plus...

J'ouvris les yeux et m'avança d'un pas rapide vers valoris et lui dit sèchement:

- ne te moque pas de moi valoris... tu as vue comment ces gens me traite ???

je le prit par le bras et le retourna, plongeant mon regard dans le sien et ajouta:

- j'étais prête à mourir pour eux... je e suis battu pour eux...et voilà comment je suis remercié...

Des larmes bouillante coulèrent sur les joues et je murmurais en pleurs:

- tu aurais mieux fait de me laisser mourir...sa t'aurais éviter toutes ses histoires...

je secouais la tête légèrement et dit tristement:

- tu te fiche pas mal de moi... quand je serais partis, tu seras enfin tranquille.

Elle ne tenait vraiment pas du tout à rester dans la cité un seul instant de plus. Tout sa, à cause du regard des autres. Elle ajouta même que lorsqu'elle sera partie, il sera enfin tranquille. Valoris, bien que calme d'habitude, mit une gifle à Zael. La gifle résonna dans toute l'enceinte de l'église.

- Il y a deux raisons à cela, la première : je n'aurais jamais pu te laisser mourir ! Tout comme je ne voulais pas que les autres meurent ! Sa m'est... Sa m'est impossible ! Deuxième raison: je serais encore moins tranquille si tu pars. Tu es autant recherché que moi depuis les événement d'Altris. Les gens ne te voient pas du bon oeil. Soit ! Moi non plus, je suis sans doute la personne la plus détesté par les 20 familles des victimes d'hier et encore plus détesté des familles de soldats royaux qui sont morts également ! Pourquoi ? Parce que je suis simplement un homme comme les autres. Je n'ai pas put protéger tout le monde comme il l'aurait voulu. J'en aurais sauvé un, un autre serait tombé ! J'ai la mort de plusieurs dizaines de personnes sur la conscience depuis la création de la rébellion. Est-ce que je m'enfuis devant cela ? Non. Pourquoi ? Parce que j'ai fait la promesse devant tout ses gens de les ramener vers cette vie qu'ils aimaient tant autrefois ! Même pour ceux qui me déteste au plus haut point désormais ! Il te traite de cette façon simplement parce que j'ai réussi à te sauver toi et non le fils d'un tel ou le frère de l'autre etc... C'est un peu méchant de le dire comme sa, mais ils sont jaloux de toi ! Demain, je serais devant plusieurs centaines de personnes, dont un bon quart me déteste comme si j'étais Tagorn en personne ! Mais j'ai appris à vivre avec même si j'aurais préféré ne pas avoir à le faire... Maintenant, fait se que bon te semble, mais tu devras tout de même attendre 2 jours avant de quitter cette endroit. Que tu le veuille ou non !

Valoris dégagea alors son bras et tourna les talons. Il alla vers la porte de l'église et en sortit tout en claquant violemment la porte. Une fois à l'extérieur, il contourna l'église et grimpa sur un tas de débris lui permettant ainsi d'accéder au toit de cette dernière. Une fois sur le toit, il s'avança vers la pointe la plus haute et s'y assis sans dire ou faire quoi que soit d'autre.

La gifle de valoris me fit rapidement récupérer mes esprits. je baissais les yeux, le visage humide de mes larmes, écoutant les paroles de valoris. je fondit en larmes de nouveau. Valoris sortit de l'église, il me fallu quelques minutes d'avant d'arriver à bouger puis finalement, je sortit de l'église, marchant comme une condamné, le regard vide. Les gens me fixait comme si j'avais la peste puis soudain, une pierre heurta mon visage. je m'arrêtais et passais la main sur mon visage, un filet de sang coulait de mon arcade. Je levais le visage et regarda qui m'avait lancer une pierre. Une femme me regarda et me montra du doigts en hurlant:

- sorcière !!!! si valoris ne t'aurais pas sauver, mon fils ne serais pas mort !!!!!

une boule se forma dans mon estomac, je dégainais un couteau attacher à ma cuisse et cria en pleurs:

- ne m'approcher pas !!!

me rendant compte de ce que je faisait, je lâchais le couteau sol et me mit à courir, loin de ses gens. finalement, je partis me réfugier dans la taverne, le coeur loud, pleurant toute les larmes de mon corps.